En transit à Doha
Lundi 22 Janvier :
Le vol sur l'A 350-900 s'est bien passé. C'était un avion très récent et confortable. Très appréciable la petite pochette de confort avec brosse à dents et dentifrice, baume pour les lèvres, masque de sommeil, chaussettes et bouchons d'oreilles.
J'ai réussi à dormir un peu mais à peine plus de deux heures. J'ai mangé un repas correct, peut être un peu moins bien que chez Emirates, et regardé Valerian sur l'écran de belle taille.
On est arrivé à Doha au lever du soleil, dans un aéroport déjà bondé, en témoigne le tarmac où les avions sont garés un peu partout. Aterrissage correct du capitaine français, reconnaissable à son magnifique accent lorsqu'il essayait de parler en anglais.
Il est encore trop tôt pour savoir quelle direction prendre dans le terminal, portes A, B, C, D ou E. Je me pose un peu vers les portes C le temps d'écrire ces quelques lignes et qu'ils affichent la porte sur les écrans.
Je suis un peu ensuqué par le donormyl mais essaye de ne pas m'endormir car trois heures d'escale c'est pas énorme.
Finalement il n'y a que deux heures d'écart en hiver. Je vais voir l'écran vers 7h, 5h sur mon portable encore à l'heure française.
À 8h je suis installé dans la zone d'embarquement et j'aperçois sur le tarmac mon prochain avion, un quadri-moteurs A340-600. Je grignote un peu - abricots secs de turquie, gingembre confit et pastilles de chocolat noir de la bio coop - car mon horloge interne m'indique qu'on est le matin et j'ai le ventre qui gargouille.
On va bientôt commencer d'embarquer pour ce vol d'à peine 4h vers Colombo.